Nous vivons une période unique et incertaine… Mais c’est aussi un temps de challenges qui nous permet de nous découvrir et d’innover. Pourquoi ne pas en profiter et donner naissance à un projet qui nous tient à cœur ? The Wonders nous donne les clés pour y parvenir.

Un texte original The Wonders

Trop d’obstacles à l’entrepreneuriat ?

Un quart des Français.es veulent entreprendre, mais considèrent qu’il y a trop d’obstacles !

Une étude réalisée en 2016 par Weebly et Opinionway s’est intéressée à l’emploi en France et en Allemagne. D’après cette étude, près d’un quart des Français.es souhaitent monter leur entreprise. Cependant, nombreux.ses sont celles et ceux qui estiment être freiné.e.s dans leur projet. On est prêt.e.s à parier qu’à la Réunion, véritable vivier de femmes et d’hommes visionnaires, entreprenant.e.s aux idées innovantes, le constat est le même…

Manque de temps et procédures administratives chronophages

Le premier frein cité est le manque de temps. Tu es peut-être salarié.e dans une entreprise, c’est le cas de la plupart des futurs chef.fe.s d’entreprise, et tu te dis qu’il sera impossible de tout gérer : la création d’un projet viable, ta vie personnelle et ton emploi actuel. Or le temps est une notion cruciale dans la création d’une entreprise, et il mérite d’être pris, notamment pour faire face à la lourdeur administrative. C’est d’ailleurs l’un des autres freins mentionnés : les procédures administratives paraissent impressionnantes et difficiles à gérer avec si peu de temps à disposition. 

La peur de l’échec

Une autre raison avancée par celles et ceux qui n’osent pas se lancer : la peur d’échouer. Comme le rappelle Christopher Dembik, économiste, pour Le Figaro « On stigmatise l’échec, on en a peur ». «Depuis 1975, la France a fini par prendre en otage la capacité à prendre des risques de la société pour lui privilégier le principe de précaution. On a fini par empêcher les entrepreneurs de prospérer et de grandir. Pourtant, dans les vingt dernières années, plus de 80% des emplois créés en France et en Europe le sont par les entrepreneurs», indique Grégoire Sentilhes président de Nextstage, société de capital investissement. 

La France gagnerait à s’inspirer du modèle anglo-saxon qui valorise l’échec en le considérant comme un apprentissage. D’ailleurs, les investissements ont tendance à y être plus important pour ceux qui veulent créer une autre entreprise après l’échec de la précédente ! L’échec n’est pas une honte, c’est une leçon dont il faut se servir pour se relever et connaître le succès !

La pandémie de COVID-19… L’occasion de plonger vers de nouveaux objectifs

Mai 2020 : un bond du nombre d’entreprises créées

D’après une étude de l’INSEE, en mai 2020, le nombre total de créations d’entreprises, tous types confondus, rebondit nettement après deux mois consécutifs en forte baisse (+59,9% après -33,4% en avril, en données corrigées des variations saisonnières et des jours ouvrables). En mai, les créations d’entreprises classiques ont nettement bondi (+64,4% après -41,8%). Il en est de même pour les immatriculations de micro-entrepreneurs (+56,0% après -24,1%), sans toutefois retrouver leurs niveaux d’avant la crise sanitaire. Cette étude est la preuve que les Français ont continué d’innover et de créer, d’imaginer et de se projeter malgré le poids psychologique que ce confinement a fait peser. 

Chamboulement de nos habitudes : du temps à revendre !

Qu’en est-il de l’excuse du manque de temps lorsque l’on est contraint de rester chez soi? Que ce soit à cause d’un confinement, d’un couvre-feu, d’un temps partiel ou d’un chômage forcé, cet enfermement contraint n’est-il pas le bon moment pour que tu te consacres à la réalisation de tes rêves ? 

La pandémie nous incite à nous réinventer, à faire preuve d’adaptabilité et de résilience afin de voguer sans trop de heurts dans le tsunami qui déferle sur nos sociétés ! Or l’être humain est un prodige d’adaptabilité. Puisque tu te réinventes, que tu réinventes ta façon de vivre, pourquoi ne pas y incorporer la réalisation de ton rêve ?

C’est ce que Fatou Ndiaye (CEO The Wonders) a fait pendant le confinement débuté au mois de mars 2020. Cette globe-trotteuse adepte des brunch et sorties entre amis a préféré voir cette assignation à résidence comme l’opportunité parfaite pour monter sa 5ème start-up, The Wonders. Bien mieux que de déprimer entre ses quatre murs pailletés. Aujourd’hui, elle accueille sept futures entrepreneuses dans des bootcamps. Les bootcamps ont pour vocation de les aider à se découvrir, à devenir la meilleure version d’elles-mêmes et à se lancer dans la réalisation de leurs rêves. 

Comme elle, profite du temps gagné pour te lancer ! D’ailleurs, je rappelle que pour créer sa micro-entreprise, la procédure de création peut être faite en ligne. Le risque est minime, la gestion est simple et rapide et la fiscalité et les charges sont réduites ! 

En parlant de charges, notons que si ton entreprise débute avec une activité faible voire inexistante, alors les charges et impôts seront … quasi nuls !

Finalement, aucun obstacle insurmontable ne se dresse sur le chemin de la réalisation de tes rêves !

La rédaction est signée Léa Marques pour The Wonders, partenaire de bienveillance et d’empowerment de reunionnaises.com !